De nos jours, le monde de l’entrepreneuriat évolue sans cesse. Non seulement dans le domaine de la technologie mais aussi dans le secteur agricole, tertiaire, commercial et industriel. Alors, avant de créer votre entreprise, vous ne devez pas ignorer certaines procédures, très importantes, pour assurer son bon fonctionnement. Le choix d’une assurance start-up en fait partie.
Au cas où vous auriez fait le bon choix pour votre assurance, votre entreprise s’améliorera de mieux en mieux. Par contre, si vous négligez cette étape, la perte totale prendra place.
Trois catégories d’assurances sont essentielles et obligatoires pour les entreprises en phase start-up : l’assurance pour la protection des employés, l’assurance responsabilité civile en exploitation (RC exploitation) et l’assurance pour la protection des biens qui appartiennent à l’entreprise. Celles-ci garantiront la progression de votre activité.
L’assurance pour la protection des employés
A l’image du bilan comptable d’une entreprise, on peut dire que le personnel est l’élément le plus valeureux de l’actif, en contrepartie du passif (constitué par les capitaux propres et les dettes circulantes). Ainsi, les employés devraient être protégés par des assurances sociales pour leur santé et certaines prévoyances sociales obligatoires (suivant l’ancienneté et la capacité d’agilité sur l’exécution des services requis par l’employeur).
En fait, cette assurance comprend :
– la protection contre les accidents de travail pendant le service ;
– la protection contre les risques professionnels sous certaines conditions comme la manipulation des produits chimiques durant le travail ou la détérioration de la santé par les chutes ou les bruits à haute puissance ;
– la protection contre les risques liés à certains déplacements ou à l’utilisation des matériels de travail endommagés.
L’assurance responsabilité civile en exploitation (RC exploitation)
Ce type d’assurance couvre les dommages physiques, matériels ou immatériels, causés par les clients, les fournisseurs, le tiers, ou même vos salariés dans leurs activités professionnelles. Le cas d’une entreprise réparateur des équipements informatiques en constitue un bon exemple.
Certains dommages sont suivis d’une prestation ou d’une édition d’un contrat de dédommagement entre l’entreprise responsable et la personne prétendante.
L’assurance pour la protection des biens qui appartiennent à l’entreprise
En parlant des avoirs de l’entreprise, nous sommes amenés à citer les éléments suivants :
– les matériels et les équipements de mise en marche de la société (ordinateurs, mobiliers de bureau, etc) ;
– le local (que vous soyez le propriétaire ou le locataire) ;
– les matériels de transport pour le personnel ou pour les biens et services) ;
– les pertes sur l’exploitation.
Pour évaluer les biens de l’entreprise, il est toujours préférable de faire appel à des professionnels de la comptabilité.
Pour la prévention contre les sinistres, tous les biens devront être protégés par l’assurance bien entreprise selon votre activité entrepreneuriale. Par là, l’assureur s’apercevra que la valeur de biens soumis en assurance dépasse le capital de base.
Pour les dirigeants et les entreprises en phase de création, ou celles qui sont en cours de croissance, il existe d’autres assurances proposées par les courtiers en assurance. On peut en citer « l’assurance sur les Cyber risques » et « l’assurance sur les risques de mise en cause personnelle ».
Pour « l’assurance sur les Cyber risques », il s’agit d’une protection contre les risques affiliés au piratage ou aux attaques du système informatique de l’entreprise (surtout les entreprises numériques), ainsi qu’à l’exposition des données sensibles. Quant à l’assurance sur les risques de mise en cause personnelle, elle consiste à protéger tous les dirigeants contre les litiges et les dangers sur leur propres biens concernés par l’exploitation. En effet, les chefs d’entreprise peuvent être mis en cause personnellement devant la justice et le nombre de ceux qui encourent des poursuites judiciaire ne cesse de croître. En général, ces situations sont dues aux litiges causées par la mauvaise compréhension d’un texte judiciaire, le non-respect de la norme, l’imprudence, la déclaration comptable inexacte ou l’omission.
Enfin, les dirigeants non rémunérés pourront souscrire pour l’assurance chômage. Cette dernièrer les défend en cas de perte d’occupation causée par une liquidation, un licenciement, une révocation ou pour des durées d’absence.